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 Histoire d'Azure41 et de Kevla

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MessageSujet: Histoire d'Azure41 et de Kevla   Histoire d'Azure41 et de Kevla EmptyLun 10 Aoû - 0:19

Coucou ! avec ma chérie on as commencer à écrire une histoire, je vous la mettrais à jour à chaque chapitre ici Wink

Bonne lecture et dites moi ce que vous en pensez Wink

Azure41.
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MessageSujet: Re: Histoire d'Azure41 et de Kevla   Histoire d'Azure41 et de Kevla EmptyLun 10 Aoû - 0:19

Clair de Lune sur Acrilys


Chapitre I


Il était une fois dans le royaume des Humains, lors d'une fraiche matinée d'un jour d'hiver, un petit village du nom d'Acrilys, là dans ce petit village, les gens y vivaient bien, ils étaient reculé du dur monde de la ville, ils n'avaient aucun préjugés, c'est ce qui favorisa un couple très hétéroclite qui n'aurais jamais pu naître dans les grandes villes, à savoir, un Nain et une Humaine et c'est dans ce foyer que commence notre fabuleuse épopée...

Un feu crépitais encore d'une longue soirée dans une petite maison, entouré par la grande forêt d'Isindrul et par la grande chaîne de montagne nommé La chaîne du Géant qui jouxte le royaume des Humains à celui des Nains, cette maison d'allure triste et de mauvaise facture était faite de bois, l'intérieur était bien aménagé de tel sorte que l'on croyait avoir plus d'espace qu'il n'y paraissait, l'ensemble de la bâtisse était décoré par des tentures de diverses couleurs, l'abri se composait de trois pièces, la cuisine, la salle à manger et le dortoir. Au milieu de la salle à manger se trouvait une table en bois encadré par deux chaises de même matériaux, le tout sur un très grand tapis qui faisait la taille de la salle à manger et recouvrait intégralement cette dernière. Un meuble en chêne supportait une grande bibliothèque abritant des dizaines de livres aussi bien philosophique qu'imaginaire, cette petite maison abritait Câlys et Dürtag, une Humaine et un Nain.

- Mon chérie, je crois qu'il n'y a presque plus de bois, voudrais tu bien aller m'en couper s'il te plaît ? Tu serra un amour ! dit-elle avec un air mélodieux.

- Rhoo, bha justement s'il n'en reste presque plus, il y en a encore ! alors j'irais en couper quand il n'y en aura plus, maintenant laisse moi finir ma bière Câlys ! dit le Nain dans un grognement.

- Mais tu m'as déjà dit cela la dernière fois Dürtag. Alors s'il te plait, fini ta bière et vas-y car vue le temps qu'il fait, une tempête de neige va bientôt arriver, répondit-elle toujours avec le même air.

- Ah ah ! d'accord, quand j'aurais fini ma bière...Hips ! dit-il d'un air sournois.

- Alors, fini ton verre et va me chercher du bois, car on va pas en avoir assez et on va geler sur place. Donc dans au minimum cinq minutes, tu sortiras me chercher du bois, sinon je te laisse te geler sur place et moi pendant ce temps, j'irais chez ma mère, bien au chaud. Tu m'as bien compris? dit-elle avec autorité.

- M ... mm, mais me geler, ça jamais ! Jamais rien ni personne ne gèlera la barde d'un Nain, au nom du Grand Forgeron ! s'exclama le Nain d'une voix tonitruante. Où se trouve ma maudite hache ! cria le Nain tout en sortant de la maison aussi vite que ses petites jambes lui permettaient tout en continuant à marmonner dans sa barbe toutes sorte de jurons contre la menace qui pèse sur sa barbe et son honneur.

- Enfin, souffla t-elle dans un soupire, et elle retourna dans ses tâches ménagère et surtout à jeter les bocs de bière vide et à laver les verres, ce qui est impossible à faire quand son mari est là.

Pendant ce temps, Dürtag partie en forêt avec la hache qu'il trouva à l'extérieur de la maison recouvert d'une pellicule de glace, car les hivers dans cette partie du monde sont souvent rude, trouva ce qu'il chercha, à savoir un arbre ni trop grand ni trop petit afin de faire un maximum de bûches à transporter sans difficulté.

- Ah bha voilà ! C'est un signe du Grand Forgeron ! un arbre parfait pour faire du feu et réchauffer ma barbe ! s'exclama le nain tout en portant sa main à sa barbe rousse, empli de bière et de détritus de toutes sortes qui se faufilais à travers ses longues tresses. C'est alors qu'il sorti la hache et commencer à débiter le tronçon en bûche qu'il chargea sur le baudet qui est son compagnon de travail préféré, calme, travailleur et portant de lourdes charges.

Lorsque Dürtag revint de son labeur, il entendit des pleurs venant de sa petite écurie qui était à une dizaine de mètres de la maison afin de limiter les effluves d'odeurs des bêtes. L'écurie était une petite bâtisse faite de planches grossièrement équarrie mais solidement attaché afin de résister aux assauts répété du vent et de la neige. Lorsque Dürtag s'approcha de l'écurie avec son baudet chargé, il vit un paquet, d'où il entendit des pleurs, il s'en approcha davantage et découvrit un enfant... vraiment pas comme les autres, c'est alors qu'il attacha rapidement le baudet et ramena l'enfant dans la chaleur de son foyer afin que cet enfant ne soit pas en danger

- Tu en a mis du temps, mon chéri, pour couper du bois, dit-elle sans se retourner du four. Mais c'est pas grave, le plus important c'est que tu ai les bûches, et pendant que tu y est, peux-tu revigorer le feu avec le bois que tu viens de ramener, s'il te plait, lui ordonna-t elle gentiment. Tout à coup, Câlys entendit un bruit et se retourna, c'était le bébé qui pleurait. Mais, ... qu'est ce .. ? questionna-t elle surprise. C'est un enfant que j'entends.

Elle laissa tomber tout de suite ce qu'elle faisait, et se dirigea presque en courant vers son mari. Elle prit le bébé dans ses bras et dès que leurs yeux se rencontrèrent, le bébé se calma d'un coup. Dès ce moment-là, Câlys était aux anges et se mit à lui chanter une berceuse, que sa mère elle-même, lui avait chanté. Le Nain, essayait à plusieurs reprises de lui parler, mais elle était sourde à ses propos, elle était concentré sur le bébé et rien d'autre.

- Oh, il est magnifique, je l'adore. Et regarde ces yeux bleu-vert, tu ne trouve pas qu'ils sont magnifique, dit-elle avec tendresse. Et je suis presque sûr que c'est une fille. Elle souleva le linge, dans lequel le bébé était recouvert, et confirma son intuition au Nain. Oh, quelle beauté deviendra-t-elle quand elle sera plus grande! Mais au fait, où as tu trouvé cette enfant. Et où sont ses parents ?

- Euhhh et bien mon trésor, bien euhh, quand je suis revenu du bois, j'ai entendu des pleurs et j'ai trouvé " ça " dans un paquet de tentures d'or et d'azur qui l'a recouvrais, il faut absolument qu'on s'en débarrasse ! on ne peux pas garder cette... chose chez nous ! s'exclama le nain avec conviction.

- Quoi, que dit-tu ? Cette enfant n'est pas une chose, c'est un être vivant, cria-t elle avec colère. Cette petite tout mignonne est un être vivant, comme tout les autres nourrisson, qui a besoin de nous et de notre tendresse. Alors tu vas faire un petit effort et l'accepter, car tu ne va quand même pas la laisser dehors, et la laisser mourir. Ce serai horrible. A ces mots, la petite se remit à pleurer. Chut, chut, dit Câlys d'une voix toute douce à l'enfant. Tu vois, elle est intelligente cette petite, elle sait qu'on parle d'elle et c'est pourquoi elle pleure, répliqua-t elle au Nain. Chut, chut, mon cœur, ne t'en fait pas, tu vas rester ici, avec moi, même si le grand méchant Nain, ne veut pas de toi, dit-elle en le regardant. Allons, mon amour, fait un petit effort, je suis sûr que tu vas l'adorer, on doit la garder. Sans laisser au Nain, le temps de répliquer, elle lui mit l'enfant dans ses bras. Regarde là bien Dürtag, et ose me dire en face, que tu souhaite l'abandonner. Mais avant regarde bien ses yeux, et vois comme elle t'aime déjà, et se sent en sécurité avec toi, affirma-t elle puisque l'enfant s'était arrêté de pleurer dès qu'elle fut dans les bras du Nain.

- Bhaa...c'est pas que c'est une chose mais euhhh... c'est le pire être que tu puisse recueillir ! j'aurais préféré un Troll ou un Orc plutôt que.... sa ! mais.....mais c'est une.... une Oreille Pointue ! Tonna le Nain tout en tenant l'Elfe dans ses bras, c'est alors que l'elfe tira sur la barbe de Dürtag, lui arrachant une légère grimace. Au moins... elle a mon caractère ! s'esclaffa t-il en souriant à l'Elfe, c'est alors que cette dernière se mit à pleurer...

Cãlys se tourna vers le four, et mit du lait à chauffer. Quelques minutes plus tard, elle mit le lait dans un petit récipient, avec une petite ouverture. Elle attendit encore un peu que le lait refroidisse, puis elle prit l'enfant des bras du Nain, et donna à boire à l'enfant. Celle-ci se mit tout de suite à boire.

- Tu sais mon amour, dit-elle en se tournant vers lui, une elfe, est un être vivant comme tout le monde, et je sais que vous, les Nains, détestez les elfes, mais je suis sûr que c'est parce que vous ne les connaissez pas assez bien, dit-elle gentiment. Mais si on la garde, tu l'auras en permanence avec toi et je suis sûr que tes ressentiments envers cette race disparaitrons, et que tu l'adoreras en fin de compte. Et regarde, comme elle nous apprécie déjà beaucoup. On ne peut pas l'abandonner, elle n'a que nous, répliqua-t elle d'un air triste. Tu ne peux pas me faire ça, tu sais comme j'en ai rêvé d'avoir un enfant.

- Mouai... émit le nain tout en humidifiant son gosier d'une forte bière, tu connais bien l'entêtement légendaire des nains et je ne fais pas office de contre exemple, je ne veux pas de cette oreille pointu dans mon foyer, mais... mon amour pour toi est plus fort que tout, si tel est ton désir, alors j'essayerais de m'en accommoder... bon et bhaa.... comment tu veux appeler cette grande greluche ? murmura Dürtag, car en effet, l'Elfe était déjà plus grande que le nain à son age...

- Oh, je t'adore à la folie mon amour. Tu me comble de joie, s'exclama-t elle en se levant et en allant embrasser son mari. Par contre, pour son nom, laisse moi un peu réfléchir. .... Au bout d'un moment, en voyant le Nain s'impatienter, elle répliqua. C'est dure de trouver tu sais ... Mais je trouverai ....Voilà, j'ai enfin trouvé, annonça-t elle toute joyeuse et en faisant sursauter le Nain. On l'appellera Edylwïne. C'est un joli nom, tu ne trouve pas mon chéri, dit-elle en se tournant vers lui. Et toi ma petite, cela te va comme nom. Et la petite gazouilla, et s'endormit.

- Ouai s'tu veux... si ça te fait plaisir appelle cette Oreille Pointue comme bon te semble... va pour Edylwïne, la géante de la famille... sacré famille, une Humaine, un Nain et ... une Elfe... marmonna le nain tout en buvant en de nombreuses rasades toute la bière à sa porté
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